Actifs mixtes : vers une nouvelle norme immobilière ?

Face à l’obsolescence d’une partie du parc tertiaire et à l’accroissement des exigences urbaines, les actifs mixtes (combinant bureaux, commerces, logements ou activités) apparaissent comme une réponse pertinente aux enjeux de densité, de durabilité et de flexibilité. Chez NM GROUP, nous avons fait de ce type d’actif une composante clé de notre stratégie de transformation.


1. Une réponse à la diversification des usages
Les actifs 100 % monovalents (exclusivement bureaux ou exclusivement commerce) sont plus exposés aux fluctuations de marché. Mixer les usages permet de mutualiser les flux, les risques et d’adapter le bâti aux évolutions de la demande locale.

2. Valoriser chaque mâtre carré en pensant usage et impact
Le logement répond à une demande structurelle, le commerce anime la rue, l’activité garantit une fonction productive. L’actif mixte permet d’optimiser les potentialités d’un foncier contraint, tout en répondant aux objectifs de ZAN et de décret tertiaire.

3. Complexité opérationnelle, mais plus forte résilience
Ces opérations exigent une bonne coordination technique (accès, réseaux, réglementations croisées) et une lecture fine du territoire. Mais elles offrent une meilleure adaptabilité face aux cycles immobiliers et à la demande sociétale.

4. Une attractivité croissante pour les investisseurs
En offrant une combinaison de revenus, de potentiel de revente et d’impact ESG, les actifs mixtes intègrent progressivement les allocations d’actifs des investisseurs institutionnels et des foncières agiles.

Conclusion
Les actifs mixtes ne sont plus une exception. Ils deviennent une norme opérationnelle dans les stratégies de revalorisation. Pour NM GROUP, ils offrent un cadre de travail souple, responsable et résilient à long terme.